Le message est clair: le contrôle de la poussière de silice n’est pas une option, c’est une nécessité. Nous avons rassemblé tout ce dont vous avez besoin pour sensibiliser votre équipe à la poussière de silice, en un seul endroit et gratuitement :
Le quartz, un minéral naturel présent dans la plupart des roches, est chimiquement connu sous le nom de silice. Il est présent en quantités variables dans des matériaux comme le granit, le grès et l’argile. Une autre forme de silice, la cristobalite, se forme à haute température (1 020 °C) et est tout aussi dangereuse. Qu’elle soit sous forme de sable, de quartz ou de silex, la silice est un composant essentiel de la production de verre et de ciment, ce qui la rend incontournable dans de nombreuses industries. Bien qu’inoffensif à l’état solide, le quartz devient un danger sanitaire important lors de sa transformation, libérant de fines poussières de silice cristalline dans l’air.
Chez Dustcontrol, la sécurité est notre mission depuis plus de 50 ans. Tout a commencé par une avancée majeure : une méthode permettant d’extraire la poussière de silice à la source pendant le forage, sans nuire à l’efficacité des travailleurs.
« Cela a changé la donne », déclare Fredrik Wangler, directeur des ventes mondiales chez Dustcontrol. « Cela a permis aux travailleurs de rester productifs tout en les protégeant de risques sanitaires graves comme la silicose, la BPCO et le cancer du poumon. Ce même principe – éliminer les poussières nocives à la source – continue de guider nos innovations aujourd’hui.»
Aujourd’hui, notre engagement va au-delà de la simple extraction. Le développement durable est au cœur de nos activités, tout au long de notre chaîne d’approvisionnement et de notre production. Nos machines évoluent constamment et intègrent des technologies avancées d’efficacité énergétique, comme le contrôle de la demande, pour réduire les temps d’inactivité.
Depuis des décennies, la recherche nous alerte sur les conséquences mortelles de l’exposition à la poussière sur les chantiers de construction. Mais à mesure que les études progressent, les risques s’avèrent encore plus importants que nous le pensions.
L’exposition à long terme aux particules de poussière en suspension dans l’air peut avoir des effets dévastateurs sur la santé des travailleurs, augmentant le risque de maladies chroniques, voire de cancer. Un environnement de travail sûr ne se résume pas à la conformité : il s’agit de protéger des vies et d’assurer la productivité.
Le message est clair : le contrôle de la poussière n’est pas une option. C’est une nécessité.